Αρχείον Ιωάννου Καποδίστρια, τ. Ε΄

Τίτλος:Αρχείον Ιωάννου Καποδίστρια, τ. Ε΄
 
Τόπος έκδοσης:Κέρκυρα
 
Εκδότης:Εταιρεία Κερκυραϊκών Σπουδών
 
Συντελεστές:Κώστας Δαφνής, Παύλος Πετρίδης
 
Έτος έκδοσης:1984
 
Σελίδες:380
 
Θέμα:Κείμενα (1815-1818)
 
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Εμφανείς σελίδες: 152-171 από: 378
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la réciprocité des intérêts qui doivent cimenter ces arrangements.

J’ expédie d’ordre de l’ empereur un courrier à M. d’Alopeus afin de mettre ce ministre à même de nous transmettre par Varsovie à St.-Pétersbourg la convention relative aux limites.

Les propositions que M. d’Alopeus vous a faites, mon prince, en dernier lieu sont considérées par l’ empereur et roi comme les seules qui renferment toutes les convenances compatibles avec le sens et la lettre du traité.

Que v.a. se donne la peine de s’ en occuper elle-même. L’ empereur desire que cette négociation finisse sous les mêmes auspices qui ont présidé à son début. Vous vous rappellerez, mon prince, que le travail relatif à la démarcation que j’ai mis sous les yeux de l’ empereur à Vienne, était écrit de votre main, c’est donc à vous seul qu’il appartient d’ achever votre propre ouvrage et de manière à ce qu’on ne puisse plus avoir de motif d’y revenir.

L’ empereur a été bien aise d’ apprendre des nouvelles de v.a.S.m.i. s’est informée avec détail des courses que vous avez faites cet été et de leur succès pour le rétablissement de votre santé. Concervez la soigneusement, mon prince, pour le service et pour la gloire du roi, votre maître.

Agréez l’ expression de ces voeux ainsi que celle de la haute considération avec laquelle etc.

Ο Καποδίστριας, αναφερόμενος αρχικά στις οικονομικής φύσης επαφές του με τον κόμη ντε Ζορντάν, ενημέρωνε τον Πρώσσο καγκελλάριο και για τις επαφές του με τους Πρώσσους πληρεξούσιους γύρω από εμπορικά ζητήματα, ναυτιλιακά και εκκαθάρισης εκκρεμών λογαριασμών που αφορούσαν στις οικονομικές σχέσεις των δύο συμμάχων χωρών.

1. VPR, τομ. Θ' σ. 263-264.

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Προσωπική επιστολή προς τον πρεσβευτή της Ρωσίας στη Βιέννη Στάκελμπεργκ (Βαρσοβία 5/17 Οκτωβρίου 1816).1

Monsieur le comte. C’est au sortir de chez s.m. l’ empereur qui vient de me donner ses derniers ordres avant de quitter Varsovie, que je reprends la plume

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pour faire part à v.ex. de quelques réflexions que la lecture attentive et approfondie de l’ ensemble de ses rapports a fait naître dans l’ esprit de notre auguste souverain. Leur contenu a mérité toute son approbation et captivé son suffrage jusque dans les moindres détails, comme je me suis fait un devoir de l’ annoncer à v. ex. dans mes dépêches d’ office. Mais s.m. en se plaisant à me le répéter au moment du départ, s’ est étendue sur ce sujet important et a témoigné le désir que les considérations qu’elle m’enonçait avec cet entraînement de conviction que vous lui connaissez, fussent retracées scrupuleusement à v. ex. Je m’ empresse donc de réaliser l’ intention de l’ empereur sans toutefois m’ acquitter d’un ordre positif.

S.m. ne se dissimule point que la conduite du cabinet de Vienne à son égard n’a point correspondu jusqu’ici aux preuves non-équivoques et sans cesse renouvelées de droiture et de sincérité que s.m. a pris à tâche de lui donner en toute occasion. Elle n’ ignore point non plus que le caractère personnel du premier ministre adapté à toutes les anciennes allures inséparables de la politique autrichienne, contribue beaucoup à multiplier les motifs de méfiance.

Mais d’une autre part l’ empereur n’en est pas moins irrévocablement résolu de persévérer dans la même ligne de conduite. Plus elle est directe et sans détour, et plus sûrement elle doit conduire au but. Ce but est le repos des nations, l’ inviolabilité des traités et la prospérité générale. S.m. ne croit avoir à redouter aucune puissance, parce qu’elle a la concience intime de la loyauté de ses intentions envers toutes.

Quand bien même l’ une d’elles, telle que l’ Autriche, sous l’ influence de quelques individus, méconnaîtrait dans certaines occasions son intérêt réel et le devoir d’une réciprocité véritable, l’ emprereur croit posséder dans la Prusse et autres Etats des alliés capables d’ apprécier la pureté de ses sentiments. Il ne désespère point même de désarmer les preventions les plus obstinées par l’ ascendant d’une droiture invariable et il saurait en dernier résultat repousser et faire évanouir toute menée qui attaquerait les droits et le crédit légitime de son Empire. D’ après ce mode d’ envisager l’ attitude du cabinet de Vienne sans illusion comme sans alarme, s.m.i. désirerait que les personnes revêtues ainsi que vous, M. le comte, de sa plus entière confiance, prissent à tâche de se pénétrer du principe qui dicte à l’ empereur cette sécurité imposante sans toutefois laisser faiblir leur vigilance à explorer les objets et à les signaler avec zèle. Personne ne peut mieux que v.ex. saisir cette nuance délicate qui sert à distinguer le calme d’un esprit éclairé par l’ expérience d’avec l’ excès de sérucité qui s’ aveugle sur les dangers les plus imminents. L’ empereur n’ ignore point les désagréments inséparables de la lutte que vous avez à soutenir avec le prince de Metternich, et combien les maximes de ce ministre contrastent avec l’ élévation de votre âme et la pénétrante justesse de votre esprit.

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Néanmoins s.m. désirerait que vous fissiez usage dans vos rapports journaliers avec le prince de Metternich d’une certaine tolérance pour les objets secondaires, qui, sans nuire à 1 estime mêlée de crainte que vous lui inspirez, servit à écarter toute apparence d’aigreur dans vos relations tant publiques que particulières et leur donnât le caractère d’une bienveillante facilité.

Telles sont, M. le comte, les observations dont j’ai cru indispensable de faire part à v.ex. parce qu’elles retracent aussi fidèlement que possible la noble et belle pensée de notre auguste maître, qui est si propre à remplir d’un nouveau courage les personnes capables comme vous d’en apprécier toute l’ importance et d’ en faire la plus utile application au bien de son service. I contribuer aussi puissamment que v.ex. est à même de le faire, c’est travailler pour la cause de l’ humanité entière et cette conviction seule suffit pour faire triompher de tous les obstacles.

Agréez....

Η «ηθικού» περιεχομένου αυτή επιστολή του Καποδίστρια υπογράμμιζε την ευθεία διαγωγή του αυτοκράτορα Αλέξανδρου στο χειρισμό των κρίσιμων ευρωπαϊκών ζητημάτων, μια διαγωγή που διεπόταν από τις αρχές του σεβασμού των συνθηκών και των αναφαίρετων ανθρώπινων δικαιωμάτων. Η έντιμη αυτή πολιτική συμπεριφορά δεν έδειχνε, σύμφωνα προς το περιεχόμενο της επιστολής, να έχει εκτιμηθεί και από την Αυστρία η ακριβέστερα ορισμένοι «σκοτεινοί» κύκλοι συντελούσαν στην παραγνώριση της. Απροκάλυπτα ο Καποδίστριας υπονοούσε τον πρίγκιπα Μέττερνιχ2 και το περιβάλλον του έναντι των οποίων, ωστόσο, ο Στάκελμπεργκ καλούνταν να επιδείξει μετριοπάθεια.

1. VPR, τομ. Θ' σ. 266-267.

2. Για την παρεμβολή του Μέττερνιχ στις σχέσεις του Καποδίστρια με τον τσάρο Αλέξανδρο, βλ. Π. Πετρίδη, Ο Μέττερνιχ μεταξύ Καποδίστρια και τσάρου Αλέξανδρου (Από απόρρητο υπόμνημα του Αυστριακού πρεσβευτή στην Πετρούπολη Λεμπτζέλτερν) στις Μελέτες ευρωπαϊκής πολιτικής ιστορίας τομ. Α' σ. 129 κ.ε. Μερικά χρόνια αργότερα, ο Μέττερνιχ σημείωνε ι(το 1821) στο ημερολόγιο του: «Αν μπορούσα να κάμω ό,τι επιθυμώ με τον Καποδίστρια, τότε όλα θα εξελίσσονταν γρήγορα και καλά», βλ. R. Metternich-A. Klinkowström, Aus Metternich’s nachgelassenen papieren 1881-83, τομ. l’ σ. 460.

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Οδηγίες προς τους αντιπροσώπους της Ρωσίας για Εμπορικές σχέσεις με την Πολωνία, κ.κ. Μπάϊκωφ, Μπυρστ και Λέμπενστερν (Βαρσοβία 6/18 Οκτωβρίου 1816).1

Βαρσοβία 6/18.Χ.1816

Messieurs. Α. l’ issue des conférences successives auxquelles j’ai été appelé à assister d’après les ordres de l’ empereur pour répondre aux intentions de s.m.i., il me reste maintenant à vous retracer les directions que vous aurez à suivre dans la situation actuelle des affaires commisses à vos soins et à votre zèle.

Les difficultés principales qui se sont élevées dans leurs discussions, se rapportaient à trois objets:

1. La mise à exécution de l’ article 24 du traité du 21 avril (3 mai).

2. La fixation du droit de transit outre-mer par Danzig, Elbing, Koenigsberg, Memel etc.

3. La stipulation réclamée par les commissaires prussiens relativement au droit de consommation dont seraient frappés les produits des manufactures prussiennes importés en Pologne.

Je me conformerai à cette division dans l’ indication du mode qui doit régler vos travaux définitifs.

Ad primum. Résumant les discussions qui ont eu rapport à ce point, il a été proposé qu’en exécution de l’ article 24 le droit de navigation des fleuves, des rivières et canaux ne serait autre que celui fixé par les règlements existants dns les deux États en sorte que les sujets polonais de s.m. l’ empereur et roi payeraient en Prussse les droits auxquels sont soumis les nationaux, et que les sujets du roi de Prusse, navigateurs en Pologne,seraient tenus aux rétributions fixées par le tarif impérial. Pour être assuré de la parfaite réciprocité qui devait signaler cet arrangement, il était indispensable de connaître les tarifs en vigueur dans la monarchie prussienne et leurs rapports avec les stipulations du nôtre.

M.M. les commissaires prussiens ayant déclaré ne pas se trouver à même de produire l’ ensemble de tous les tarifs en quetsion, et ayant élevé des doutes même sur la possibilité d’en communiquer quelques-uns avant un terme éloigné et incertain, cette réponse dont les motifs vous sont suffisamment connus, Messieurs, ne doit point suspendre la marche de vos travaux.

Vous déclarerez en conséquence aux commissaires prussiens que le seul moyen de lever à la satisfaction réciproque les difficultés inhérentes à l’ application de l’ article 24 ayant été proposé, celle que MM. les commissaires ont mise à son adoption immédiate, n’est pas faite pour arrêter la conclusion des

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arrangements qui se rapportent à cet article.

Vous pouvez donc, tout en ignorant les ratifs que les commissaires prussiens ne sont point à même de vous présenter, stipuler d’ après le principe de la réciprocité en déclarant que vous vous réservez de revenir sur l’ article 24 suivant le principe qui y est énoncé dans le cas où les tarifs qui seront communiqués plus tard, ne se trouveront point être de la convenance de votre gouvernement.

Ad secundum. Quant au tarif qui regarde le transit par Danzig etc., il embrasse les droits d’exportation et d’importation. Les commissaires prussiens étant convenus de fixer le premier comme le second de ces dorits au taux de 5%, taux que le gouvernement polonais ne se trouve pas en mesure d’admettre, la question est de leur faire agréer notre proposition d’un droit de 5% pour l’ importation et de 3% pour l’ exportation du royaume de Pologne. Vous leur déclarerez que vous avez 1’ ordre de vous concerter sur la rédaction d’une convention pour le transit et de la signer sur la base du 8% tant pour l’ importation que pour l’ exportation d’après l’ estimation des denrées dans le tarif conventionnel y compris les droits de ports et autres, hormis ceux de navigation sur les canaux et écluses appartenants à l’ État ou aux villes.

S’ils se refusent d’adopter cette proposition, vous aurez à leur dire que l’ gouvernement polonais se charge de prouver l’ impossibilité d’ accéder à celle qu’ils ont mise en avant, par des faits qui pourront être consignés dans un mémoire ad hoc et transmis à M. d’ Alopeus. Vous les engagerez donc à s’ en rapporter alors à la décision de leur cour et vous réglerez vos démarches consécutives sur les notions que M. d’ Alopeus vous fera tenir directement.

Ad tertium. La copie ci-jointe de la lettre que M. Jordan m’ adressée et de la réponse que j’y ai faite d’ordre de l’ empereur, vous informera, Messieurs, de la direction que ce troisième point en discussion a prise, et qui est actuellement du ressort des relations ministérielles des cabinets respectifs.

M. le commissaire d’Autriche étant destiné à assister aux négociations qui vous sont confiées, vous l’ enviterez, conformément, à l’ esprit des transactions de Vienne, à accéder au résultat de votre travail et en cas de refus de sa part vous en informerez le ministère.

Je transmets copie de la présente instruction à M. le conseiller privé d’ Alopeus.

Si les facilités que ce ministre sera dans le cas de porter à la conclusion de cette affaire, ne sont point encore de nature à l’ amener au résultat désiré, et si vos discussions avec MM. les commissaires prussiens sur la précision des droits de transit conservent toujours le caractère qui les a distinguées jusqu’ ici, votre travail terminé (et il doit l’ être à l’ expiration d’un mois à dater de la présente instruction), vous déclarerez ne pouvoir être plus à même de suivre les

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négociations. Elles seront rompues et vous attendrez alors les ordres qui, sur l’ avis que vous en transmettrez par l’ entremise du gouvernement polonais, vous seront expédiés de Pétersbourg.

Recevez, Messieurs...

Ο Καποδίστριας αναφερόταν, με τις οδηγίες του αυτές, σε εμπορικά ζητήματα, κυρίως σε ζητήματα ναυσιπλοΐας, που έπρεπε να αντιμετωπισθούν σύμφωνα προς τις νέες συνθήκες που είχαν υπογραφεί στη Βιέννη το 1815. Όπως είναι γνωστό, στο Πολωνικό είχαν διεισδύσει, παράλληλα προς τη Ρωσία, η Αυστρία και η Πρωσσία.2

1. VPR, τομ. Θ' σ. 268-270.

2. Βλ. 77. Πετρίδη, Σχέδια για την οργάνωση της Ευρώπης στα χρόνια της παλινορθώσεως, Μελέτες, ό.π., τομ. Α' σ. 16-17.

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Υπόμνημα προς τον τσάρο της Ρωσίας Αλέξανδρο (29 Οκτωβρίου / 10 Νοεμβρίου 1816).1

Les communications écrites que M. le comte Cathcart a adressées à v.m.i., portent sur les objets suivants.

Question générale du désarmement

Le prince régent partage l’ opinion de v.m.i. quant à l’ époque à laquelle les puissances pourront examiner et régler cet objet.

Le traité d’ alliance du 8(20) novembre fixe cette époque. Il se peut que l’ ambassadeur ajoute verbalement quelques explications plus positives à cet égard. Il est cependant à croire qu’il n’ insistera pas comme par le passé à l’ effet de se faire rendre compte de l’ état de situation de l’ armée de v.m.i. ainsi que de plusieurs autres détails de la même catégorie.

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Négociations de Francfort relativement aux arrangements territoriaux

Le ministère britannique s’ accorde avec v.m.i. sur ce que les puissances alliées n’ont point le droit de présenter au grand duc de Bade un ultimatum pour lui arracher de pleine autorité le cercle du Mein et Tauber que l’ Autriche a promis à la Bavière par un traité solennel.

L’ Angleterre et v.m.i. s’ accordent en second lieu sur ce que le grand duc de Bade doit par la teneur du traité de Francfort de l’ année 1813 des sacrifices à la cause commune.

D’après ce principe v.m.i. a parlé au grand duc de Bade le langage de l’ amitié. Elle est prête à lui parler celui du droit et a intervenir conséquemment dans cette négociation avec l’ Angleterre et la Prusse comme puissances médiatrices.

Le ministère britannique avance de même que v.m.i. l’a fait par les dernières instructions adressées de Varsovie au comte de Stackelberg, qu’il serait de toute justice que l’ Autriche mît dans la balance des compensations à offrir au grand duc de Bade: 1. La renonciation pleine et entière du droit de réversion sur le Palatinat et le Brisgau. 2. La reconnaissance de la lignée des comtes de Hochberg à la succession.

Il serait utile que le comte de Cathcart fit connaître de son côté, tant au chevalier de Lebzeltern ici qu’à l’ ambassadeur britannique en Autriche, le résultat de son entretien avec v.m.i. sur cette question.

Enfin lord Castlereagh met une grande importance à ce que v.m.i. soutienne le vote de l’ Angleterre quant aux fonds destinés à la ligne de fortification de l’ Allemagne. Le prince Metternich voulait en distraire une partie pour indemniser le grand duc de Bade. V.m.i. s’y est refusée, et elle a promis de conformer dans cette question ses opinions à celles de l’ Angleterre.

Il sera agréable au comte Cathcart de pouvoir donner par ses rapports au vicomte Castlereagh de nouvelles assurances à cet égard.

Affaire du prince Eugène

L’ Angleterre montre un intérêt véritable afin que cette négociation ait une fin satisfaisante. Les nouveaux moyens qu’elle propose sont de faire partager le poids de l’ indemnisation pécuniaire attribuée par les protocoles de Vienne et de Paris à la seule cour de Naples, à celles aussi de Turin et de la Toscane.

V.m.i. ne pourrait point admettre cette nouvelle base de négociation:

1. Parce qu’elle supposerait un accord entre les puissances signataires des protocoles et celles qu’on voudrait faire intervenir, qui n’est rien moins que certain.

2. Parce que la cour d’Autriche ayant également proposé d’identifier cette

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négociation avec celle qui regarde la principauté de Lucques, v.m.i. n’y a point consenti.

L’ opinion immuable de v.m.i. est:

1. Que les puissances doivent porter la cour de Naples à reconnaître le principe de l’ indemnité pécuniaire qu’elle doit au prince Eugène comme équivalent d’un établissement de 50 mille âmes en Italie.

2. Que ce principe une fois émis formellement, on négocie ensuite sur la quantité numérique de cette indemnisation et sur le mode de payement.

3. Que si ensuite la cour de Naples a des voeux à former à la charge du grand duc de Toscane ou du roi de Sardaigne et que les alliés en reconnaissent unanimement la justice, alors v.m.i. ne se refusera pas de joindre son intervention à celle de ses alliés.

L’ Angleterre s’ est prononcée sur la somme de cette indemnité pécuniaire. V.m.i. ne se reconnaît point ce droit. Mais elle a ordonné à M. d’Anstett d’avoir à cet égard des explications confidentielles avec les agents du prince Eugène et de porter ce prince à donner à ses prétentions le caractère de la plus grande modération.

Affaire d’ Espagne

Pour porter cette puissance à accéder au recès de Vienne et à reconnaître les dispositions qui regardent le duché de Parme, l’ Angleterre propose d’engager l’ Autriche à assurer la réversion de cette principauté après la mort le l’ archiduchesse Marie Louise au prince fils de la reine d’ Etrurie, ou bien à la maison de Bourbon qui règne en Espagne.

Lord Castlereagh paraît mettre un grand intérêt à ce que les Italiens ne puissent point espérer de voir régner parmi eux le fils de Napoléon.

Quant aux autres détails relatifs à cette affaire et aux soins de la conduire à une prompte fin, l’ Angleterre propose de faire travailler la conférence des quatre ministres à Paris et d’y faire intervenir M. de Richelieu.

Tout en abondant en général dans les idées conciliatoires, proposées par le ministère britannique, v.m.i. ne pourra se prononcer sur le fond de la question qu’au moment où elle aura appris comment le cabinet de Madrid l’ envisage d’ après les réponses que v.m.i. a faites à ses dernières ouvertures.

Au reste en admettant la forme, c’est-à dire, en consentant que la conférence des ministres des cinq puissances réunis à Paris traite cette affaire, et en trouvant justes les motifs qui engagent lord Castlereagh à exclure d’une domination souveraine en Italie le fils de Napoléon, v.m.i. répondra pleinement aux désirs du cabinet de St.-James.

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Réduction de l’ armée d’occupation cantonnée en France

L’ Angleterre veut gagner du temps. Elle ne veut pas se refuser ouvertement aux désirs du cabinet des Tuileries. Elle ne veut pas les satisfaire. Elle ajourne conséquemment cette discussion à l’ epoque où les chambres auront arrêté le budjet de l’ année 1817: ce que lord Castlereagh appelle, dès que la chambre des représentants aura réglé le service de l’ année suivante.

L’ opinion de v.m.i. est que, comme le budjet est ordinairement le dernier des actes de la législature, il devrait suffire aux puissances de promettre la diminution de l’ armée d’occupation sous la condition, qu’elle aura lieu toutes les fois, que les alliés d’ accord avec s.m. très chrétienne auront jugé que la présente législature a répondu entièrement à l’ attente du gouvernement du roi et aux voeux de la France. C’est de cette manière, que sans préjuger de la question, on pourrait mettre le roi de France à même d’ obtenir de grands résultats au moyen de cette législature et de devenir par l’ espoir d’une épargne de 30 millions agréable à ses peuples.

En annonçant au comte Cathcart que v.m.i. va s’ occuper de cette affaire et qu’elle se propose d’en écrire elle-même au duc de Wellington, elle pourra faire espérer à cet ambassadeur que M. le comte de Nesselrode lui fera connaître les pièces destinées à cet objet.

Traite des nègres et barbaresques

V.m. n’ayant pas eu encore le temps de se faire rendre compte des expéditions volumineuses qui regardent les conférences de Londres, ne pourrait pas articuler son opinion à l’ égard de ces deux questions.

Aperçu sur les affaires des îles Ioniennes

Depuis longtemps il est parvenu à la connaissance de v.m.i. que les agents anglais dans les îles Ioniennes surveillent et se méfient des habitants des Iles qui par le passé ont eu des relations avec la cour de Russie.

Les membres du sénat qui se sont le plus proponcés pour faire placer le sort des Sept îles sous les auspices de v.m.i. lors de l’ entrée des armées alliées en France et postérieurement lors du congrès de Vienne, ceux qui se sont adressés directement à v.m.i. pour solliciter sa protection, ont été par un décret solennel du lord commisaire britannique destitués de leurs places et déclarés comme des magistrats entachés et portés à troubler le repos des Iles.

Enfin M. de Maitland s’est prononcé à Paris sur ce point d’une manière très déplacée. On sait sans pouvoir en douter, qu’il considère comme le premier et le plus essentiel de ses devoirs celui de comprimer cette partie des septinsulaires, qu’il se plaît à appeler le parti russe et à les disperser s’il le faut. Il envisage

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comme noyau de ce parti la famille du comte Capodistrias.

V.m.i. a daigné suivre la marche des agents britanniques dans les Sept îles avec la bienveillance qu’elle accorde aux intérêts de ce petit État. Elle a été peinée d’ apprendre que ces agents se sont écartés des intentions de leur gouvernement et assurément de la teneur du traité qui regarde le sort des Sept îles. Elle a espéré que la conduite du commisaire lord Maitland aurait fait oublier aux Iles celle du général Campbell. Elle ne veut pas encore renoncer à cet espoir ne pouvant jamais supposer que tout ce qui a été fait jusqu’ici dans les Iles soit conforme aux intentions du ministère britannique.

Pourquoi et comment trouver coupables des magistrats qui ont placé leur confiance dans v.m.i.? Est-ce que le fait de la négociation de Paris relative aux Iles et son résultat ne leur ont pas prouvé qu’ils avaient des droits à nourrir cette confiance et des titres pour la mériter?

La Russie a élevé les Iles de l’ état de servitude à celui d’indépendance en 1800. V.m.i. a reçu de ce peuple jusqu’ à l’ année 1807 des témoignages d’amour et de dévouement. Elle lui a promis de ne jamais l’ abandonner. Elle a tenu ses promesses.

Est-il coupable s’il est reconnaissant?

Quant à la famille du comte Capodistrias et à celui de ce nom qui a le bonheur de vous servir, Sire, v.m.i. n’a qu’à en appeler au témoignage des négociateurs anglais qui ont discuté avec lui la convention de Paris et à toutes les démarches pleines d’honneur et de franchise, qu’il a faites pour prouver au cabinet de St.-James la droiture et la pureté de ses intentions.

On va maintenant mettre en exécution dans les îles Ioniennes le traité du 5 novembre 1815.

V.m.i. désire et espère que l’ indépendance de l’ administration des Etats Unis Ioniens sera consolidée d’une manière libérale.

Jusqu’ici rien ne le leur promet. Les places les plus éminentes dans toutes les parties de l’ administration sont occupées par des Anglais.

Un sous-secrétaire d’ État britannique reçoit de la caisse des Iles un traitement considérable pour s’occuper à Londres des affaires du peuple protégé.

V.m.i. en retraçant au comte Cathcart le tableau de l’ administration du royaume de Pologne peut lui prouver qu’étant le souverain de ce pays, elle a su cependant donner la plus grande indépendance à son administration intérieure. Cela se peut donc, lorsqu’on le veut.

L’Angleterre doit le vouloir parce qu’elle y est obligée par un traité.

V.m.i. contribuera encore au bonheur des Iles en faisant bien comprendre au comte Cathcart qu’elle ne renonce point à la résolution de se faire rendre compte très exactement de ce qui s’ y passe. Ses opinions ne se fonderont que sur les faits.

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Ces communications faites à lord Cathcart sortent de l’ ordre officiel. V.m. désire ne point y avoir recours.

Με το βαρυσήμαντο αυτό υπόμνημα, ο Καποδίστριας ενημέρωνε τον προϊστάμενο του αυτοκράτορα Αλέξανδρο για τα ακόλουθα, γενικότερου ευρωπαϊκού ενδιαφέροντος, ζητήματα, όπως α) Το ζήτημα του άφοπλισμού,2 β) Η πορεία των διαπραγματεύσεων της Φραγκφούρτης, γ) Η υπόθεση του πρίγκιπα Ευγένιου, δ) Οι ισπανικές υποθέσεις, ε) Το ζήτημα της μείωσης των στρατευμάτων κατοχής στη Γαλλία3 και στ) Οι εξελίξεις στο Επτανησιακό Ζήτημα.

Προκαλεί ιδιαίτερη εντύπωση η βαθειά γνώση του Καποδίστρια πάνω στα φλέγοντα ευρωπαϊκά ζητήματα κι ακόμη ο ρεαλισμός και η μετριοπάθεια που διέκριναν τις προτάσεις του. Σχετικά με το περισσότερο κρίσιμο για τα ενδιαφέροντα του Ζήτημα, το Επτανησιακό, διαβίβαζε προς τον αυτοκράτορα τα εξής: «Εδώ και αρκετό καιρό έχει περιέλθει σε γνώση σας ότι οι Βρετανοί απεσταλμένοι στα Επτάνησα δυσπιστούν απέναντι στους κατοίκους εκείνους των Νησιών που από παλιά είχαν σχέσεις με τη Ρωσική Αυλή. Έτσι, τα μέλη της Γερουσίας που είχαν υποστηρίξει, περισσότερο από τον καθένα, την άποψη της υπαγωγής των Νησιών κάτω από τη δική σας προστασία, μετά την είσοδο των συμμαχικών στρατευμάτων στη Γαλλία αλλά και μεταγενέστερα κατά τη διάρκεια του Συνεδρίου της Βιέννης, οι άνθρωποι εκείνοι που απευθύνθηκαν στην αυτοκρατορική σας μεγαλειότητα απευθείας επιζητώντας την προστασία της, βρέθηκαν με ένα επίσημο διάταγμα του βρετανού λόρδου επιτετραμμένου να έχουν καθαιρεθεί από τα αξιώματα τους και να έχουν στιγματιστεί ως έχοντες την πρόθεση να διαταράξουν την ησυχία των Νησιών».

«Τέλος», εξακολουθούσε ο Καποδίστριας, «ο κ. Μαίτλανδ γνωμάτευσε στο Παρίσι, γύρω από αυτό το ζήτημα, με πολύ ανάρμοστο τρόπο. Γνωρίζουμε και δεν είναι δυνατό ν’ αμφιβάλλουμε γι’ αυτό, ότι θεωρεί ως το πρώτιστο και ουσιωδέστερο καθήκον του να συνθλίψει την παράταξη των Επτανήσιων που αυταρέσκεται να αποκαλείται ρωσικό κόμμα και αν παραστεί ανάγκη να τη διασπάσει. Πυρήνα του κόμματος αυτού θεωρεί την οικογένεια του κόμη Καποδίστρια. Η μεγαλειότητα σας καταδέχτηκε να παρακολουθήσει την πολιτεία των Βρετανών επιτετραμμένων με την εύνοια που υπαγορεύει η πρόοδος των συμφερόντων αυτού του κρατιδίου. Με λύπη πληροφορήθηκε όμως, πως οι διπλωμάτες αυτοί απαρνήθηκαν τις προθέσεις της κυβέρνησης τους και το περιεχόμενο της συνθήκης που αφορούσε στο επτανησιακό μέλλον. Έτρεφε ελπίδες ότι η διαγωγή του ύπατου αρμοστή λόρδου Μαίτλανδ θά

Σελ. 162
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συντελούσε στο να λησμονηθεί εκείνη του στρατηγού Κάμπελλ. Δεν μπορεί ακόμη ν’ απαρνηθεί τούτη την ελπίδα μη μπορώντας να υποθέσει πως όλα όσα συνέβησαν στα Νησιά μέχρι σήμερα είναι σύμφωνα με τις προθέσεις της βρετανικής κυβέρνησης».

Και ο Καποδίστριας κατέληγε: «Όσον αφορά στην οικογένεια του κόμη Καποδίστρια και του επώνυμου που έχει την ευχαρίστηση να σας υπηρετεί μεγαλειότατε, η μεγαλειότητα σας δεν έχει παρά να επικαλεστεί τη μαρτυρία των Άγγλων διαπραγματευτών που συζήτησαν μαζί του τη συνθήκη των Παρισίων4 καθώς και όλα του τα διαβήματα,5 με συνέπεια και ευθύτητα, που απηύθυνε για να αποδείξει στη βρετανική κυβέρνηση την καθαρότητα των προθέσεων του. Ας προχωρήσουμε (όμως) τώρα στην υλοποίηση της συνθήκης της 5ης Νοεμβρίου 1815. Η μεγαλειότητα σας επιθυμεί και ελπίζει ότι η ανεξαρτησία της διακυβέρνησης των Νησιών θα στερεωθεί με «ελεύθερο τρόπο». Μέχρι σήμερα τίποτα δεν το υπόσχεται. Οι περισσότερο περίοπτες θέσεις στη διοίκηση έχουν καταληφθεί από Άγγλους, ενώ ένας Βρετανός υφυπουργός επιδοτείται από το επτανησιακό ταμείο για να ασχολείται στο Λονδίνο με τις υποθέσεις του υπό προστασία (επτανησιακού) λαού...».

1. VPR. τομ. Θ' σ. 278-281.

2. Ο Καποδίστριας είχε πάρει το 1820 ξεκάθαρη θέση υπέρ του αφοπλισμού στην Ευρώπη, βλ. εκτενέστερα 77. Πετρίδη, Ο Ιωάννης Καποδίστριας και η Γερμανική Ομοσπονδία, Μελέτες, ό.π. σ 64, του ίδιου, Τα πολιτικά σχέδια του Καποδίστρια για μια νέα τάξη πραγμάτων στην Ευρώπη, Μελέτες, σ. 145 κ.ε.

3. Πρβλ. 77. Πετρίδη, Ο Ιω. Καποδίστριας και η αντιμετώπιση των γαλλικών υποθέσεων από το Διευθυντήριο των Δυνάμεων, Μελέτες, ό.π., σ. 120-123.

4. 77. Πετρίδη, Η διπλωματική δράσις του Ιωάννου Καποδίστρια υπέρ των Ελλήνων, 1814-1831 (1974) σ. 66 επ.

5. 77. Πετρίδη, Η διπλωματική δράσις, ό.π., σ. 62 επ.

Σελ. 163
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Προσωπική επιστολή προς τον πρεσβευτή της Ρωσίας στο Παρίσι στρατηγό Πότσο ντι Μπόργκο

(Αγία Πετρούπολη 5/17 Νοεμβρίου 1816).1

Votre expédition, mon cher général, a été fort goûtée, et je vous en fais mes compliments. Je désire que celle qu’on vous adresse soit également agréable à M. le duc de Wellington et à M. de Richelieu. Le comte de Noailles aurait voulu davantage. Il aurait désiré que le vote de la Russie fût absolu, et conséquemment inpératif. Ceci vous donne la mesure des hommes auxquels on a affaire. J’ai démontré jusqu’ à l’ evidence à M. l’ ambassadeur, que le peu de soin que son cabinet a mis à rectifier les opinions que le ministère britannique a énoncées très positivement au mois de juillet, sur la question de la réduction, a. été nuisible à leurs intérêts. Ce peu de soin a permis a lord Castlereagh de tirer l’ argument que la proposition de M. de Richelieu était déjà forte de l’ assentiment de la Russie. — Pourquoi le ministère anglais aimerait-il ce que nous n’ aimerions point? — Si on avait saisi avec justesse et suivi avec persévérance l’ opinion consignée dans les instructions que vous avez reçues en date du 9/21 juillet, assurément on ne serait point surpris de la réponse donnée maintenant par lord Castlereagh, moins encore des difficultés qu’on prévoit de la part du duc de Wellington.

L’ empereur, comme on vous le dit officiellement, ne croit pas pouvoir s’ écarter de la marche qu’il s’ est tracée dans cette affaire, depuis le moment où elle lui fut proposée.

Il s’agit toujours de faire adopter un mode de conciliation qui soit de nature à satisfaire aux voeux raisonnables de la France, et à garantir d’ autre part le maintien invariable des actes du mois de novembre de l’ année passée.

C’est par l’ entremise de M. le duc de Wellington que ce mode peut réunir toutes les opinions et devenir dès lors exécutable.

Votre commission se laisse définir clairement et simplement. Je n’en dirais pas autant s’il s’ agissait de parler de son exécution. Mais la latitude que l’ empereur vous a laissée, quant au choix des formes et des moyens, est pour vous si honorable, et votre savoir-faire est si fortement à l’ épreuve de l’ expérience, que je ne doute pas du succès. J’ appelle succès, tant la reussite de la négociation dont vous êtes chargé, que l’ accord invariable qui subsisterait encore entre les cabinets alliés, au cas même de non-réussite.

L’ empereur envisage cet accord comme la seule égide sous laquelle le bien peut se faire dans le monde. Avant donc d’y toucher de fait, ou même d’ intention, il faut que ses serviteurs y soient bien positivement autorisés.

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Je crois devoir vous donner ces éclaircissements parce que vous pourriez vous laisser emporter par cette sainte indignation, dont les âmes fortes sont susceptibles, toutes les fois que l’ injustice ou l’ egoïsme le plus scandaleux paraissent sous des formes que la mauvaise politique croit pour le moins ingénieuses.

Je vous ai vu frémir à l’ aspect glacial de Humboldt, lorsqu’il disséquait la France, ou bien lorsqu’il se proposait de la traiter comme le docteur Sangrado, jusque ad extinctionem. Je crains vos mouvements d’ impatience, lorsque, l’ ardoise sur la table, les plénipotentiaires britannique, autrichien et prussien, voudront décider la grande question de la reduction, à force de formules arithmétiques.

Laissez-les faire. Mais revenez toujours aux actes du mois de novembre, aux protocoles qui les ont précédés, aux notes qui les ont accompagnés.

Με την επιστολή του αυτή προς τον Πότσο ντι Μπόργκο ο Καποδίστριας ασκούσε ένα είδος κριτικής ως προς τον τρόπο χειρισμού των γαλλικών κυρίως ζητημάτων από την πλευρά του Ρώσου πρεσβευτή στο Παρίσι. Μια χαρακτηριστική περικοπή από την τελευταία παράγραφο της επιστολής: «Σας είδα να τρέμετε στην παγερή θέα του Χούμπολτ όταν διαμέλιζε τη Γαλλία, ή όταν του προτεινόταν να τη μεταχειριστεί όπως ο δόκτωρ Σανκράντο, μεχρισότου την εξαλείψει τελείως. Φοβάμαι τις κινήσεις ανυπομονησίας σας όταν με ψυχρή λογική οι πληρεξούσιοι των Βρετανών, των Αυστριακών και των Πρώσσων θα θελήσουν ν’ αποφασίσουν πάνω στο μεγάλο θέμα των ελαττώσεων (των στρατευμάτων κατοχής), με καθαρά μαθηματικούς υπολογισμούς ».

1. Ch. Pozzo di Borgo, Correspondance diplomatique du comte Pozzo di Borgo et du comte de Nesselrode, τομ. A σ. 463-466.

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Προσωπική επιστολή προς τον πρεσβευτή της Ρωσίας στο Λονδίνο κόμη Λίεβεν (5/17 Νοεμβρίου 1816).1

Monsieur le comte. On a dit de tout temps que les hommes les plus importuns sont ceux qui se laissent dominer par une seule idée. C’est mon cas, et si v.ex. en a la preuve, elle doit s’en prendre à la bonté avec laquelle elle a bien voulu accueillir la lettre par laquelle je lui ai fait part de mes inquiétudes relativement au sort de mon pays natal.

Ces inquiétudes ont doublé du moment qu’on m’a fit connaître d’ une manière très positive les intentions dans lesquelles lord Maitland allait faire le législateur aux États Unis Ioniens.

Plein de ma douleur j’ ai osé en parler à s.m.i. L’ empereur qui honore les sentiments de patrie et de famille auxquels se rattache l’ existence morale de tout homme de bien, a daigné écouter le récit de mes afflictions et m’en soulager par un trait de la bienveillance qui le caractérise.

Dans la dernière audience que s.m.i. a accordée au comte Cathcart, elle a bien voulu ramener l’ attention de cet ambassedeur sur les affaires des îles Ioniennes. L’ aperçu ci-joint énonce les faits sur lesquels s.m.a. eu la bonté de s’ entretenir avec lui.

M. le comte de Cathcart a semblé très disposé à ne pas laisser ignorer au ministère britannique la satisfaction que l’ empereur éprouverait en apprenant que les stipulations du 5 novembre seraient exécutées avec cette justice et cette libéralité que les habitants des Iles ont le droit d’ attendre de la part de la puissance protectrice.

Reste maintenant à savoir comment le comte Cathcart s’est acquitté de la commission dont il vient de se charger, et quelle est l’ impression que ses communications pourront avoir produite sur l’ esprit du lord Castlereagh.

C’est pour vous mettre à même, M. le comte, de vous en informer de la manière que vous pouvez juger convenable, que l’ empereur m’ autorise à vous écrire cette lettre particulière. Elle va vous porter l’ expression de toute ma reconnaissance du bien que vous avez fait et que vous ferez, M. le comte, à mon pays.

Vous n’ obligerez point des ingrats. Mes compatriotes ne sont point indignes de votre intérêt.

Agréez l’ assurance etc.

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Ο Καποδίστριας κατήγγελε, για μια ακόμη φορά, τις απροκάλυπτες προθέσεις του Βρετανού ύπατου αρμοστή Μαίτλανδ ν’ αναδειχθεί «νομοθέτης» της Επτανήσου. Γνωστοποιούσε στον Λίεβεν ότι, με εξουσιοδότηση του Ρώσου αυτοκράτορα, είχε καλέσει τον Βρετανό πρεσβευτή στην Πετρούπολη εφιστώντας του την προσοχή στη σημασία που έδινε η Ρωσία για την πιστή εφαρμογή της συνθήκης της 5ης Νοεμβρίου 1815 και από τη βρετανική πλευρά.

1. VPR, τομ. Θ' σ. 293-294.

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Οδηγίες προς τον Επιτετραμμένο της Ρωσίας στην Κωνσταντινούπολη βαρώνο Στρόγγανωφ (2/14 Δεκεμβρίου 1816).1

Monsieur le baron. Les prédécesseurs de v.ex. ainsi que M. le comte de Stackelberg ont reçu dans le temps des directions relativement aux étrangers devenus sujets russes et aux questions qui se rapportent à cet objet.

Vous en avez eu connaissance, M. le baron, par la dépêche du 8 novembre dernier sub No... concernant la pétition des capitaines marchands que l’ envoyé de s.m.i. auprès de la cour de Naples avait transmise au ministère impérial.

Les informations qui nous sont parvenues dernièrement de la part du consul général à Yassy, ont fixé plus particulièrement l’ attention de l’ empereur sur cette partie de son service.

Quelques individus, munis de reconnandations accordées par seule faveur, ont prétendu à la protection du consulat de Moldavie. M. Pini s’ y est refusé et sa conduite a mérité le suffrage de l’ empereur. Or, c’est dans l’ intention de vous mettre à même. M. le baron, de régler dans des principes invariablement uniformes la gestion de tous les consuls de Russie dans le Levant sur cette branche très essentielle de leurs fonctions, que s.m.i. m’ordonne de vous transmettre le précis ci-joint.

Vous y trouverez les principes d’ après lesquels il vous sera facile de prescrire aux agents qui sont placés sous votre surveillance, les devoirs qu’ils auront à remplir toutes les fois qu’ils sont appelés à accorder la protection de s.m.i. aux étrangers qui ont des titres à la réclamer. Ces titres se fondent, comme

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on l’ a dit plus d’une fois, sur les traités en général et en particulier sur la prestation du serment et sur les actes ou patentes, ou passeports qui en constatent la validité.

Cet objet qui a été discuté sous les rapports de l’ influence morale et politique dans les mémoires qui composent vos instructions, paraît mériter toute votre sollicitude au moment où vous allez, M. le baron, extirper les abus scandaleux qu’on a faits jusqu’ici en Turquie de la protection et du nom auguste de l’ empereur.

Il importe de définir avec précision ces abus, pour ne pas donner lieu à un excès contraire, à celui d’une réserve exagérée de la part de nos agents qui mettrait au désespoir les chrétiens domiciliés dans le Levant et habitués à considérer la Russie comme l’ unique sauvegarde de leur existence civile et du maintien inviolable de leur sainte religion.

L’ empereur désire que cette influence salutaire ne soit aucunemen affaiblie. Tout au contraire, s.m.i. espère la voir fortifiée aux yeux des chrétiens et de la Porte même de tout l’ ascendant que lui donnent la pureté des intentions et la légitimité des vues dans lesquelles elle doit être exercée.

Il serait déplacé d’ entrer ici dans des détails ultérieurs à cet égard. C’est à votre zèle éclairé que l’ empereur en abandonne le soin.

Il sera très agréable à s.m.i. de connaître successivement la teneur des instructions dont v.ex. aura muni nos consuls en conformité des errements que j’ai l’honneur de lui transmettre par les présentes.

Agréez...

Principes d’ après lesquels doivent être conçues les instructions dont seront munis les agents de Russie dans le Levant quant aux étrangers devenus sujets russes ou ceux qui forment le voeu de le devenir

1. Tous les étrangers, qui ont prêté serment à la Russie et qui ont été considérés jusqu’ ici comme sujets de l’ Empire, doivent conserver invariablement cette qualité à moins qu’ils ne désirent par une suite de la situation nouvelle, où leurs pays respectifs peuvent actuellement se trouver, regagner leur sol natal et se placer sous l’ égide de leurs nouveaux souverains ou protecteurs. Dans ce cas ils adresseront au ministère de l’ empereur une requête formelle afin d’ être déliés du serment qu’ils ont prêté et obtiendront cette grâce sans aucun délai.

2. Ceux qui voudront rester sujets russes, seront considérés comme étrangers à leur pays natal. Ils ne pourront par conséquent prétendre à aucune des prérogatives atribuées aux indigènes — celle même d’ être domicilié parmi

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eux à demeure pour un long temps exigera l’ assentiment spécial du gouvernement des pays auxquels ils appartemaient originairement.

3. Le même principe réglera les mesures qu’ils peuvent prendre relativement aux propriétés qu’ils auraient dans leur terre natale.

4. Ceux qui actuellement se présenteront aux agents de Russie pour offrir la prestation du serment dans la vue de devenir sujets de l’ Empire, seront instruits de la teneur de ces dispositions. Les agents précités sont autorisés à leur en donner copie. En cas qu’ils persistent dans leur demande, elle sera adressée au ministère et ne pourra être admise que d’ après un ordre de l’ empereur.

5. Il s’ entend de soi-même que ces dispositions générales pour tout étranger ionien, ragusais, dalmate, illyrien ou autre s’ étendent aux dits individus de quelque profession qu’ils soient. En conséquence les navigateurs illyriens ou autres, qui se sont définitivement naturalisés sujets russes et ont obtenu des patentes en cette qualité, conserveront la liberté de solliciter le déliement du serment en vertu duquel ils se sont constitués sujets. Ceux par contrequi malgré l’ option qui leur est offerte, persisteraient à vouloir demeurer dans la même catégorie; ne sauraient être exclus, ni rejetés par la puissance qui les a accueillis; néanmoins sous la clause expresse de se soumettre à toutes les obligations ou restrictions que leur impose leur qualité d’étrangers dans leur terre natale. Ceux enfin qui tenteraient de se prévaloir de titres controuvés ou inadmissibles pour concilier les prérogatives de sujets autrichiens avec l’ avantage de naviguer sous pavillon russe, ne sauraient être munis de passeports ou d’une autorisation quelconque de la part des agents de s.m.i.

6. Par un effet des principes énoncés aucune protection au nom de la Russie ne saurait être accordée à tout étranger ionien, ragusais, dalmate, illyrien, italien ou autre, qui ne soit point naturalisé sujet de l’ emprereur et roi au moyen du serment voulu par les lois.

Οι οδηγίες αναφέρονταν στους ξένους που είχαν πολιτογραφηθεί Ρώσοι υπήκοοι. Ο Καποδίστριας εξουσιοδοτούσε τον πρεσβευτή του να χειρίζεται ομοιόμορφα το ζήτημα της παραχώρησης της ρωσικής υπηκοότητας διαμέσου όλων των προξενείων της Ρωσίας στην Ανατολή. Οι αρχές που θάπρεπε να τηρηθούν στην προκειμένη περίπτωση ήταν οι ακόλουθες; 1. Όλοι οι ξένοι που ήταν υπήκοοι της αυτοκρατορίας όφειλαν να διατηρήσουν την ιδιότητα τους, εκτός αν εκδήλωναν επιθυμία επαναπατρισμού στη γενέτειρά τους, 2. Εκείνοι που θα παρέμεναν Ρώσοι υπήκοοι θα θεωρούνταν ξένοι για τη γενέτειρα τους μη απολαμβάνοντας τα δικαιώματα των ιθαγενών, 3. Ταυτόσημες αρχές θα διείπαν και τα μέτρα που αφορούν στην περιουσία τους στη γενέτειρα γή, 4. Όσοι στο εξής επιθυμούν τη ρωσική υπηκοότητα θάπρεπε να λάβουν γνώση

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των παραπάνω αρχών, 5. Τα μέτρα αφορούσαν όλους ανεξάρτητα από επαγγελματική ιδιότητα, 6. Καμιά προστασία δεν ήταν δυνατό να παρασχεθεί σε ξένο, μη Ρώσο υπήκοο.

1. VPR. τομ. Θ' σ. 316-318.

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Συνοπτικό υπόμνημα προς τον τσάρο της Ρωσίας Αλέξανδρο (9/21 Δεκεμβρίου 1816).1

Votre majesté impériale nous a ordonné d’ examiner toutes les pièces relatives aux arrangements par lesquels le congrès a régie l’ établissement de l’ impératrice Marie Louise. Nous avons compulsé à cet effet les archives et nous avons trouvé:

1. Le traité de Fontainebleau.

2. La correspondance de v.m. avec cette princesse.

3. L’ article 99 du recés du congrès.

La première de ces transactions renferme une stipulation très précise en faveur du fils de Napoléon. Au congrès l’ exécution de cet article rencontra les plus grandes difficultés, et l’ impératrice Marie Louise réclama plusieurs fois l’ appui de v.m. tant pour elle que pour les intérêts de son fils.

Les réponses de v.m. lui donnent des assurances positives exprimées néanmoins en termes généraux. En conséquence son intervention fut très prononcée et elle amena en effet après de longs pourparlers les autres plénipotentiaires à consentir à l’ article inséré dans l’ acte du congrès. Il diffère de ceux du traité de Fontainebleau en ce qu’il ne contient aucune clause explicite en faveur du fils de Marie Louise et qu’en réservant aux puissances signataires la faculté de se prononcer sur la question de la réversion, il ménage une chance dans si’ avenir à la branche espagnole. Cet article fut soumis à l’ impératrice Marie Louise avant d’ être signé; elle se déclara satisfaite et en témoigna sa reconnaissance à v. m. par sa lettre du 4 juin 1815.

Telle est la situation où cette affaire se trouve aujourd’hui. Elle eut pour conséquence le refus de l’ Espagne d’accéder au traité de Vienne, et toutes les démarches faits depuis pour y amener cette cour et lui faire accepter Lucques

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avec une rente pécuniaire comme indemnité pour l’ infante Marie Louise, ont été infructueuses. Dans cet état de choses une idée avancée par l’ Angleterre semble offrir le moyen d’aplanir toutes ces difficultés. Elle propose de s’ entendre dès à présent sur la réversion des duchés de Parme, Plaisance et Guastalla afin d’ accorder la succession à la branche espagnole après le décès de Marie Louise à l’ exclusion de son fils. Cet arrangement aurait l’ avantage de faire accéder l’ Espagne aux transactions de Vienne et de Paris et de faire cesser ainsi les inconvénients graves qui résultent de la séparation de cette puissance du système général. Mais il nous paraît que v.m. étant comme signataire du traité de Fontainebleau plus liée que l’ Angleterre, ne saurait y donner son adhésion qu’après s’ être assurée de l’ assentiment de la cour de Vienne qui est la puissance la plus directement intéressée dans cette affaire et la plus à même de juger des dispositions de l’ impératrice Marie Louise à se prêter à un arrangement qui semble d’ ailleurs réclamer l’ intérêt général de toutes les puissances.

Το συνοπτικό αυτό υπόμνημα συντάχτηκε με τη συνεργασία και του Νέσσελροντ.2 Εξετάζονταν κληρονομικά θέματα σχετιζόμενα με τη δυναστεία του Βοναπάρτη και την τέως αυτοκράτειρα της Γαλλίας Μαρία Λουίζα καθώς και οι δεσμεύσεις του Ρώσου αυτοκράτορα από τη συνθήκη του Φοντενεμπλώ3.

1. VPR, τομ. Θ' σ. 343-344.

2. Ο Καποδίστριας είχε τακτική και ομαλή συνεργασία με τον Νέσσελροντ, βλ. σχετικά Αρχείον Ιωάννου Καποδίστρια, τομ. Α σ. 31: «... Συνωμίλησα μετά του κόμιτος Νεσσελρόδε, συνεφωνήσαμεν δε καθ’ όλα επί της διεξαγωγής της εμπιστευθείσης εις αμφοτέρους ημάς υπηρεσίας...... Η συνεργασία τους διακόπηκε τον Αύγουστο του 1822 μετά την αποχώρηση του Καποδίστρια από το υπουργείο Εξωτερικών.

3. Πρβλ. Π. Πετρίδη, Ο Ιω. Καποδίστριας και η αντιμετώπιση των γαλλικών υποθέσεων από το Διευθυντήριο των Δυνάμεων, Μελέτες, ό.π., σ. 108.

Σελ. 171
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    la réciprocité des intérêts qui doivent cimenter ces arrangements.

    J’ expédie d’ordre de l’ empereur un courrier à M. d’Alopeus afin de mettre ce ministre à même de nous transmettre par Varsovie à St.-Pétersbourg la convention relative aux limites.

    Les propositions que M. d’Alopeus vous a faites, mon prince, en dernier lieu sont considérées par l’ empereur et roi comme les seules qui renferment toutes les convenances compatibles avec le sens et la lettre du traité.

    Que v.a. se donne la peine de s’ en occuper elle-même. L’ empereur desire que cette négociation finisse sous les mêmes auspices qui ont présidé à son début. Vous vous rappellerez, mon prince, que le travail relatif à la démarcation que j’ai mis sous les yeux de l’ empereur à Vienne, était écrit de votre main, c’est donc à vous seul qu’il appartient d’ achever votre propre ouvrage et de manière à ce qu’on ne puisse plus avoir de motif d’y revenir.

    L’ empereur a été bien aise d’ apprendre des nouvelles de v.a.S.m.i. s’est informée avec détail des courses que vous avez faites cet été et de leur succès pour le rétablissement de votre santé. Concervez la soigneusement, mon prince, pour le service et pour la gloire du roi, votre maître.

    Agréez l’ expression de ces voeux ainsi que celle de la haute considération avec laquelle etc.

    Ο Καποδίστριας, αναφερόμενος αρχικά στις οικονομικής φύσης επαφές του με τον κόμη ντε Ζορντάν, ενημέρωνε τον Πρώσσο καγκελλάριο και για τις επαφές του με τους Πρώσσους πληρεξούσιους γύρω από εμπορικά ζητήματα, ναυτιλιακά και εκκαθάρισης εκκρεμών λογαριασμών που αφορούσαν στις οικονομικές σχέσεις των δύο συμμάχων χωρών.

    1. VPR, τομ. Θ' σ. 263-264.

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    Προσωπική επιστολή προς τον πρεσβευτή της Ρωσίας στη Βιέννη Στάκελμπεργκ (Βαρσοβία 5/17 Οκτωβρίου 1816).1

    Monsieur le comte. C’est au sortir de chez s.m. l’ empereur qui vient de me donner ses derniers ordres avant de quitter Varsovie, que je reprends la plume